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La commission électorale nationale autonome (Cena) a rendu publique en fin de semaine dernière la répartition des partis qui doivent désigner les chefs quartiers et de villages. Au total trois partis ont obtenu des sièges lors... Lire

...Le budget 2025 de la HAAC s’élève à 3.104.000.000 Fcfa et a connu une augmentation de près de 34%. Ceci est dû à la volonté du gouvernement de mettre en adéquation les ressources avec la nouvelle loi organique de la HAAC. Je dois dire que ce qui m’a frappé... Lire

Hier, mercredi 27 novembre 2024, le siège national annexe de l’Union Progressiste le Renouveau a servi de cadre à une rencontre d’envergure entre deux forces politiques de la mouvance présidentielle : l’Union Progressiste le Renouveau et le Mouvement des Élites Engagées pour l’Émancipation... Lire

Le budget 2025 du MESTFP s’élève à 190 835 497 000 FCFA contre 199.120.328.000 FCFA pour la gestion 2024, soit une diminution de 8.284.831.327 FCFA correspondant à un taux de régression de 4,16 %. Il se répartit en dépenses ordinaires à hauteur... Lire

Le montant du budget alloué au Ministère des Sports pour le compte de la gestion 2025 s’élève à 31.815.293.376 Fcfa et est réparti en Dépenses ordinaires à hauteur 7.891.884.034 FCFA et en dépenses en capital à 23.923.409.342 Fcfa... Lire

Conformément au Cadre de dépense à moyen terme (CDMT), les crédits alloués au ministère de la décentralisation et de la gouvernance locale pour la gestion 2025 s’élève à 53.452.983.505 Fcfa CONTRE 51.683.085.761 Fcfa soit un taux... Lire

Les crédits alloués au ministère du commerce et de l’industrie pour la gestion 2025 s’élèvent à 6.344.182.550 Fcfa répartis en dépenses du personnel à 1.359.336.550 Fcfa contre 4.367.793... Lire

Pour la gestion budgétaire 2025, le MCVT bénéficie d’une enveloppe budgétaire de 359 568 373 897 FCFA dont 345 761,445 millions FCFA, soit 96,16% pour les dépenses en capital. Cette dotation est en baisse de 12,44 % par rapport... Lire

Au Palais des Gouverneurs à Porto-Novo ce mardi 26 novembre 2024, le député Borgia Santos Tawes N'BOUKE a profité du passage des ministres... Lire

La cérémonie consacrant l’adhésion de Noël CHADARÉ, grande figure du syndicalisme au Bénin, à l’Union Progressiste le Renouveau vient à peine de prendre fin au siège national annexe du parti à Cotonou. Présidée par le Professeur Joseph Fifamin DJOGBÉNOU, Président du parti, cette rencontre , à la fois solennelle... Lire

A la demande du parti Les Démocrates, transmise par une correspondance en date du 19 novembre 2024 ayant pour objet... Lire

Les crédits alloués au Ministère de la justice et de la législation pour le compte de l’année 2025 s’élève à 37 655 467 244 Fcfa contre 37.213.536.000 Fcfa en... Lire

Les crédits alloués au ministère de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche pour la gestion 2025 est d’un montant 146.904.938.746 FCFA contre 117.376... Lire

Conformément au Cadre de dépenses à moyen terme (CDMT), gestion 2025, il est alloué au ministère, de l’énergie, de l’eau et des mines (MEEN) un budget de 203.146.170.526 Fcfa contre... Lire

Conformément au Cadre de Dépenses à Moyen Terme (CDMT) 2025-2027, les ressources allouées au MPMEPE... Lire

Pour la gestion 2025, le budget prévisionnel du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) s’élève à 93 713 951 531 F CFA contre... Lire

Le Ministre des Affaires étrangères était le jeudi 21 novembre dernier devant la Commission budgétaire de l’Assemblée Nationale. Olushegun ADJADI BAKARI a défendu une enveloppe financière... Lire

Le projet du budget 2025 du ministère de l’intérieur et de la sécurité publique (MISP) s’élève à 75.842.122.780 FCFA, contre 76.262.498.000 FCFA en 2024, soit une diminution de 420.375.220 FCFA... Lire

Les crédits ouverts au profit du Médiateur de la République pour la gestion 2025 s’établissent à la somme de 880 222 825 Fcfa, contre 850 477 000 Fcfa en 2024. Ce montant a connu une augmentation... Lire

Les crédits alloués à la Cour constitutionnelle pour l’année 2025 s’élèvent 2.768.309.948 Fcfa contre un montant de 2 690 311 000 Fcfa... Lire

Le Ministre de la justice et de la législation, Monsieur Yvon DETCHENOU, a reçu en audience dans l’après-midi du lundi 18 novembre dernier, les responsables du Cadre de concertation des partis politiques de l’opposition au Bénin. Au menu des échanges, l’audit du fichier électoral, une demande formulée par le parti Les Démocrates lors... Lire

Au titre de la gestion 2025, le Ministère des Affaires Sociales et de la Microfinance a bénéficié d’un budget global qui s’élevé à la somme de 26.983.853.000 francs CFA contre... Lire

MISSION DU MINISTERE : La mission assignée au Ministère du Développement et de la Coordination de l’action gouvernementale est d’impulser le développement économique et social... Lire

Les ressources allouées au secteur de la santé pour la gestion budgétaire 2025 s'élèvent à 150,111 milliards contre 136,283 milliards en 2024... Lire

Les crédits alloués au ministère du travail et de la fonction publique pour la gestion 2025, s’élèvent à 7.995.442.006 Fcfa répartis en... Lire

Le budget du ministère du numérique et de la digitalisation pour l’année 2025 est de 29 milliards Fcfa, un budget en augmentation de 19%... Lire

Nous pouvons retenir que le budget de l’année 2025 a connu une hausse et ceci rentre bien dans le cadre... Lire

Le projet de budget gestion 2025 de la Haute Cour de Justice que je soumets à votre bienveillante appréciation est élaboré... Lire

Créée par la loi n°2019-043 du 15 novembre 2019 portant code électoral en République du Bénin, la CENA est une structure administrative administrative permanente dotée de... Lire

Les autres grands favoris pour le CES...

Les nouveaux membres du Conseil Economique et Social (CES) seront connus dans quelques jours et les soutiens de Talon attendent cette désignation. En dehors des jeunes leaders de l’Union Progressiste le Renouveau et ceux du Bloc Républicain qui attendent d’être...

Pour la course présidentielle de 2026, le code électoral n’accorde pas la parole à tous les partis politiques. Seuls ceux qui animent véritablement la vie politique et qui sont à même de parrainer les probables candidats à cette messe électorale, ont droit de cité...

À quelques mois de la présidentielle de 2026, c’est un secret de polichinelle de dire que la mouvance à Patrice TALON est intacte. Et pour cause, les calculs liés à sa succession. La récente proposition de révision de la constitution à l’Assemblée nationale a mis à rude épreuve la cohésion...

Dans le Plateau, ils sont nombreux ces acteurs politiques de la mouvance sur lesquels compte le président Patrice TALON pour le derby électoral de 2026. Il s’agit entre autres du président Adrien HOUNGBÉDJI, du président Louis Gbèhounou VLAVONOU, du président Séfou FAGBOHOUN, du président...

Albin FELIHO : Un Acteur discret mais Influant au Service du Bénin
Albin FELIHO est une figure discrète mais incontournable du paysage béninois. Bien qu’il ne se revendique d’aucun parti politique, son influence a été particulièrement notable durant la période du début de la rupture. À la tête de la Confédération nationale...

Dans l’Atacora/Donga, deux départements importants dans le Nord du Bénin, la mouvance à Patrice TALON multiplie ses actions et ratisse large pour de meilleures élections en 2026. Pour ces lieutenants du président Patrice TALON dans cette région septentrionale, ça passe ou ça casse...!

En premier, il faut citer le ministre Yves CHABI KOUARO. Ténor de l’Union Progressiste le Renouveau, il devra compter sur son électorat pour renforcer la machine de la mouvance en 2026.

Ténor de l’Union Progressiste le Renouveau, le député Domitien N’OUEMOU n’est pas des moindres. Plusieurs fois élu député, il bénéficie d’une grande confiance du président Patrice TALON et compte également sur sa base électorale pour apporter un sang neuf à la machine de la mouvance en 2026.

Il en est de même du député Jacques YEMPABOU. Grande figure de l’Union Progressiste le Renouveau, il est un homme de confiance du président Patrice TALON. Dans la localité, il fait partie des politiques qui ont une base électorale stable et fiable pour la conquête du pouvoir. A cet effet, la machine de la mouvance a besoin de sa présence et de son soutien en 2026.

Ancien ministre et plusieurs fois élu député, Barthélémy KASSA est un acteur clé du Bloc Républicain (BR). Affectueusement appelé «Le Gouverneur» en raison de sa force de frappe politique, l’actuel 1er Vice-président de l’Assemblée nationale fait partie des soutiens de taille de la mouvance. En 2026, il saura apporter sa grande contribution à la victoire.

Pareil pour le député Abdoulaye GOUNOU. Dans cette localité, point besoin d’évoquer encore son poids politique. Haut responsable du Bloc Républicain (BR), l’ancien président du Groupe parlementaire BR devra renforcer la machine de la mouvance en 2026.

Les acteurs politiques Aldo N’DAH, Koto OROU MARE et Hamadi ADAMOU seront également de la grande messe électorale

Toujours dans l’Atacora/Donga, la machine de la mouvance en 2026 aura à s’appuyer sur le savoir-faire politique de Bintou CHABI ADAM TARO Bintou de l’Union Progressiste le Renouveau à Bassila.

Abou-Bakari GOMINA portera également haut l’étendard de l’Union Progressiste le Renouveau en renforçant la machine de la mouvance en 2026.

Même constat chez Daouda TAKPARA à Djougou et Ignace OUOROU à Copargo.

Pour le compte du Bloc Républicain dans l’Atacora, la machine de la mouvance pourra compter sur le ministre Abdoulaye Bio TCHANÉ.

Il en est de même du député Assan SEIBOU du Bloc Républicain (BR). Actuellement président du groupe parlementaire BR, il s’est révélé au fil du temps comme un grand soutien à Patrice TALON. Suppléant du ministre Abdoulaye Bio TCHANÉ, le député Assan SEIBOU reste et demeure le grand manitou de la machine de la mouvance en 2026.

Il y a par ailleurs l’ancien maire de Djougou et actuellement député, Malick Abdoul GOMINA. Il est présenté comme un homme de confiance du président Patrice TALON.

Même chose à Bassila avec Fillkibirou Zakari TASSOU et Wahabou FOUSSENI Zakari Filikibirou à Copargo.

Le derby électoral de 2026 approche inexorablement et la mouvance s’active au niveau de chaque région du pays pour une victoire certaine. C’est le cas par exemple du Borgou/Alibori où plusieurs acteurs politiques ratisser large....

Dans le Borgou, on peut citer pêle mêle :

Ancien maire de Parakou, ancien député et actuellement ministre, Sam ADAMBI est un ténor du Bloc Républicain (BR). La mouvance pourra compter sur son leadership pour la victoire du camp de Patrice TALON en 2026.

Il en est de même du dinosaure et animal politique Rachidi GBADAMASSI. Ancien maire de Parakou et ancien député, ce ténor du Bloc Républicain (BR) compte sur sa popularité et son électoral pour faire un come-back en 2026. D’ailleurs à ce propos, la mouvance de Patrice TALON compte sur ses percées pour gagner le derby de 2026.

Ancien maire de Parakou et député d’y Bloc Républicain (BR), Charles TOKO est un grand soutien et le fidèle des fidèles à Patrice TALON. La machine de la mouvance en 2026 a besoin egalement de cet homme de confiance du chantre du Nouveau départ.

Ancien maire et député, LAFIA Oumarou est un leader de l’Union Progressiste le Renouveau. Les indiscrétions font de lui un homme politique très averti et futé. Sa présence au sein de la machine de la mouvance en 2026 sera un atout pour la victoire.

Robert GBIAN n’est plus à présenter. Ancien vice-président de l’Assemblée nationale et actuellement député, Robert GBIAN est un leader du Bloc Républicain (BR). Sa discrétion et sa connaissance du pays constituent de grands avantages pour la mouvance en 2026. Il en est de même de Théophile YAROU dont l’électorat à Parakou et environs est resté intact.

Yacoubou OROU SE GUENE est député et leader de l’Union Progressiste le Renouveau. Il est le chouchou des jeunes de sa région dont il est le digne représentant à l’Assemblée nationale. Appartenir à la machine de la mouvance en 2026 ne serait qu’un mobile de plus pour marquer sa notoriété.

Dans l’Alibori, ils sont également nombreux ces hommes sur qui compte la mouvance en 2026.

Ministre et ancien député, SeIdou ALASSANE est un leader politique à redouter. Il fait partie des missiles dont se servira la machine de la mouvance en 2026 pour gagner la bataille.

Plusieurs fois élu député, Issa SALIFOU SALEY est un animal politique véritablement redoutable. Dans sa région, il règne depuis plusieurs années. Sa présence aux côtés de la machine de la mouvance en 2026 va induire la razia électorale. Il est un ténor de l’Union Progressiste le Renouveau.

Ancien ministre, Arifari BAKO est actuellement député et leader du Bloc Républicain (BR). Sans tapage, il dispose d’un électorat stable et fidèle. Il est également une référence dont la machine de la mouvance en 2026 se servira pour faire KO dans sa région.

Député et 1er questeur de l’Assemblée nationale, Labiou AMADOU DJIBRIL est un ténor de l’Union Progressiste le Renouveau. Sa vigueur, sa pugnacité et sa popularité assureront une plus value pour la victoire de mouvance en 2026. Acteur du monde sportif, il l’est aussi et pourra compter sur cette fibre pour bien mouiller le maillot.

Ancien ministre et député, l’he Bio Gounou Idrissou SINA OUNINGUI est un homme de principe. Il est un ténor de l’Union Progressiste le Renouveau. Bénéficiant d’une longueur d’avance politique, il saura puiser de son expérience et surtout de sa sagesse pour faire gagner la machine de la mouvance en 2026. Il en est de même de l’he Djamilatou SABI MOHAMED et de Sarako BIO.

Qui va loin, ménage sa monture. En tout cas au sein de la mouvance présidentielle, les choses se mettent petitement en place pour les présidentielles de 2026. Dans le Zou/Collines, la machine à gagner de TALON pourrait être huilée politiquement par certaines figures. Il s’agit du président...Joseph Fifamè DJOGBÉNOU, du maire Luc ATROKPO, des députés Natondé AKÉ, Edmond AGOUA, Janvier YAHOUEDEOU, André OKOUNLOLA, Nicaise FAGNON, Hervé HEHOMEY, Dah Édouard BEHANZIN, Léopold LOKOSSOU, Nazaire SADO, Armand GANSE, Joachim DAHISSIHO, des anciens ministres Lambert KOTY et Joseph AHANHANZO...

Président de l’Union Progressiste le Renouveau, le professeur Joseph Fifamè DJOGBÉNOU aura un rôle déterminant à jouer en 2026 au sein de l’équipe qui devra porter au Palais de la Marina le successeur de Patrice TALON.

Actuellement maire de Cotonou et plusieurs fois élu député, Luc ATROKPO est un baobab politique. Dans le Zou/Collines, ce leader de l’Union Progressiste le Renouveau pèsera de tout son poids pour faire gagner le candidat de Patrice TALON en 2026.

Plusieurs fois ministre et député, Natondé AKÉ est une force politique incontournable dans le Plateau d’Abomey. Leader de l’Union Progressiste le Renouveau et président du Groupe parlementaire Union Progressiste le Renouveau, ce dinosaure apportera son sel dans la sauce de la mouvance en 2026 dans le Zou/Collines

Plusieurs fois député et leader de l’Union Progressiste le Renouveau, Edmond AGOUA est une force tranquille dans les Collines. En tout cas sur plus d’une decennie, il a dicté politiquement sa loi dans cette région. En 2026, il apportera aussi un plus dans la machine de la mouvance.

Ancien député et leader du Bloc Républicain (BR) Janvier YAHOUEDEOU dispose d’un électorat stable. En 2026, il aura également son mot à dire.

Ancien député et ambassadeur du Bénin près de la République de Russie, André OKOUNLOLA est un grand soutien de Patrice TALON dans les Collines. En 2026, il apportera son savoir faire à l’équipe de campagne.

L’he Nicaise FAGNON n’est plus à présenter. Plusieurs député et ministre, ce cadre chevronné est un exemple à suivre en politique. Avec son soutien à TALON, sa détermination et son engagement, il apportera une bouée d’oxygène à la machine de la mouvance dans les Collines sous la bannière de l’Union Progressiste le Renouveau.

Ancien ministre, Hervé HEHOMEY est aujourd’hui député et leader du Bloc Républicain (BR). Dans le Zou, il a fait des percées politiques ces dernières années. Son soutien à la machine de la mouvance en 2026 ne fera pas défaut.

Actuellement député, Dah Édouard BEHANZIN est un proche du président Patrice TALON. Dans le Zou, il aura son mot à dire dans l’équipe de campagne en raison de la confiance qu’il bénéficie du grand chef.

Leader de l’Union Progressiste le Renouveau et député, Léopold LOKOSSOU ne sera pas des moindres dans la bataille de 2026. Il bénéficie du soutien des acteurs du monde agricole et payson dont il est l’un des portes voix au Palais des Gouverneurs à Porto-Novo.

Ancien député et leader du Bloc Républicain (BR), Nazaire SADO a toujours gardé son terrain politique dans le Zou. En 2026, la machine de la mouvance pourra compter sur lui.

Leader du Bloc Républicain (BR) et soutien du président Patrice TALON, Armand GANSÈ sera de la bataille de 2026 dans le Zou. Il reste un exemple du militantisme politique pour la jeunesse.

Ancien député et conseiller communal, Joachim DAHISSIHO est un leader du Bloc Républicain (BR) dans le Zou. Fidèle à sa base, il sera d’un grand appui pour la machine de la mouvance en 2026 dans la région du Zou.

Ancien ministre, Lambert KOTY n’a pas perdu ses plumes dans le plateau d’Abomey. Il fera également profiter à la machine de la mouvance dans le Zou ses expériences.

Joseph Ahanhanzo-Glèle, ancien Ministre, Députant suppléant, personnalité de la 23ème circonscription électorale, ayant un contact très étroit avec les corps constitués des milieux culturels et cultuels, son appui en 2026

Les élections présidentielles de 2026 s’annoncent décisives pour la mouvance à Patrice TALON. En tout cas, dans toutes les régions, certaines figures sont incontournables dans la machine de la victoire. Dans le Mono/Couffo, on peut citer pêle mêle le président Bruno AMOUSSOU..., le président Mathurin Coffi NAGO, le ministre Romuald WADAGNI, les députés Dakpe SOSSOU, Jérémie ADOMAHOU, Gérard GBENONCHI, Ernest MEDEWANOU, Honoré Marius GUIGUI, Rosine DAGNIHO, Réginal KOUMAGBEAFIDE...

Impossible de parler de la politique dans le Mono/Couffo sans évoquer le nom du Président Bruno AMOUSSOU. Plusieurs fois président de l’Assemblée nationale, ministre dans plusieurs gouvernements, ce baobab politique aura encore son mot en 2026 dans la machine de la mouvance. Ancien président de l’ex Parti social Démocrate (PSD) et président de l’ex Union Progressiste (UP), Bruno AMOUSSOU reste un grand soutien à Patrice TALON.

Président de l’Assemblée nationale par deux fois et personnalité de l’Union Progressiste le Renouveau, le professeur Mathurin Coffi NAGO n’est pas un inconnu dans l’animation politique de cette région. En tout cas depuis plus de 20 ans, il écrit les belles pages de l’histoire de notre pays. En 2026, il puisera son expérience politique pour appuyer la machine de la mouvance dans le Mono/Couffo.

Ministre de l’Économie et des finances depuis 2016, Romuald WADAGNI fait partie des hommes sûrs du président Patrice TALON. Son soutien à la machine de la mouvance en 2026 ne sera pas une surprise en raison de son implication dans la gouvernance de TALON.

Ancien maire de Lokossa et plusieurs fois député, Dakpe SOSSOU apparaît comme un véritable animal politique de la région. Faisant partie des premiers soutiens du président Patrice TALON, l’he Dakpe SOSSOU s’est distingué par sa fidélité au prince du Nouveau départ. Faire partie de la machine de la mouvance en 2026, sera un argument de plus pour ce leader infatigable de l’Union Progressiste le Renouveau pour faire mal.

Le député Jérémie ADOMAHOU est une référence dans la région à travers son activisme politique. De 2011 à ce jour, ce leader de l’Union Progressiste le Renouveau a remporté plusieurs enjeux électoraux. En 2026, la machine de la mouvance aura besoin de son appui dans la région.

Le président Gérard GBENONCHI est le numéro 3 de l’Union Progressiste le Renouveau. Soutien de premières heures du président Patrice TALON, le président de la Commission des finances et des Échanges de l’assemblée nationale n’est pas des moindres dans le dispositif de TALON. C’est de l’ordre normal des choses de le voir dans la machine de la mouvance en 2026 en raison de son ascension politique.

Ancien député et membre de l’Union Progressiste le Renouveau, l’he Ernest MEDEWANOU pèsera également de tout son poids dans la région pour la victoire de la mouvance en 2026.

Ancien chargé de mission de préfet et actuel député, l’he Honoré Marius GUIGUI apparaît comme la nouvelle étoile filante de la région politiquement parlant. Membre de l’Union Progressiste le Renouveau, sa présence au sein de la machine de la mouvance en 2026 donnera du sang à l’équipe.

Rapporteur de la Commision des finances et des Échanges de l’Assemblée nationale, l’he Réginal KOUMAGBEAFIDE ne passe pas inaperçu surtout avec son approche du soutien au président Patrice TALON. En 2026, la machine de la mouvance aura besoin de son génie en politique.

Plusieurs fois élue député dans la localité, l’he Rosine DAGNIHO n’a plus rien à démontrer politiquement. Leader du Bloc Républicain (Br), elle draine du monde dans cette région. Sans tapage, elle enregistre beaucoup de percées politiques. La machine de la mouvance en 2026 pourra se servir de son expérience politique pour gagner du terrain.

Adrien HOUNGBEDJI, Alexandre SOHOU, Orden ALLADATIN, Ali KAMAROU, Chantal AHYI, Valentin Aditi HOUDÉ, Jean-Méjor ZANNOU, Amoudath AHLONSOU épouse GBADAMASSI, Lucien et Bernard HOUNGNIBO....sont les ténors sur qui peut compter la mouvance du président Patrice TALON pour le virage de 2026....

En effet pour le Président Adrien HOUNGBÉDJI, il fut le leader charismatique du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) disparu au profit de l’Union Progressiste le Renouveau. Pendant environ 30 ans, il a toujours eu son mot à dire dans l’Ouémé.

Pour Alexandre SOHOU, il est un ancien leader du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) dans Akpakpa et élu sur la liste Union Progressiste (UP). C’est un véritable leader qui pendant longtemps a su dicter sa loi.

Orden ALLADATIN, actuellement député, il a réussi à imposer son titulaire, Joseph DJOGBÉNOU depuis 2015 à Cotonou. Très proche du pouvoir, il demeure un homme de confiance du président Patrice TALON et pourra de ce faire jouer un rôle prépondérant en 2026.

Ali KAMAROU est un acteur politique très averti. C’est sous le couvert de la Renaissance du Bénin (RB) qu’il a signé son arrivée au Parlement. Soutien indéfectible du président Patrice TALON, Ali CAMAROU a encore dans son escarcelle la maîtrise de Cotonou. Pour ce faire, il aura à peser de tout son poids pour 2026.

Chantal AHYI, actuellement 2eme questeur de l’Assemblée nationale, est une femme politique pondérée. Efficace dans la discrétion, elle a réussi à s’imposer au Bloc Républicain (BR). Élue en 2019 puis en 2023 à l’Assemblée nationale, Chantal AHYI auro son mot également en 2026 dans Cotonou.

Valentin Aditi HOUDÉ est le baobab de l’Atlantique. Plusieurs fois élu député et nommé ministre, il reste le grand des grands depuis plusieurs années dans cette zone. Pour 2026, il ferait un bon capitaine dans la machine de la mouvance dans l’Atlantique.

Jean-Méjor ZANNOU est député et ancien maire de Sô-Ava. Dans l’Atlantique, ce leader de l’Union Progressiste le Renouveau est aimé de sa générosité légendaire. En tout cas, ces 6 dernières années, sa quote de popularité n’a pas cessé de grandir dans l’Atlantique.

Mme Amoudatou AHLONSOU épouse GBADAMASSI est un leader de l’ex Parti du Renouveau Démocratique dans l’Atlantique. Aujourd’hui elle milite au sein de l’Union Progressiste le Renouveau et travaille énormément dans cette zone pour la mouvance. Sa générosité et sa maîtrise du terrain politique font d’elle un animal à craindre. Elle saura mouiller le maillot en 2026.

Lucien HOUNGNIBO est un acteur politique de l’Union Progressiste le Renouveau dans Allada. Élu député plusieurs fois, il continue de travailler efficacement pour sa famille politique. En tout cas, les percées de la mouvance dans Allada ne se font pas sans lui. Il pourra être de la machine de TALON en 2026.

Bernard HOUNGNIBO est actuellement député du Bloc Républicain (BR). Dans Allada et environs, il est surnommé le prix Nobel des œuvres caritatives. Il maîtrise son terrain. Chouchouté par sa population, il est un véritable représentant du peuple. En 2026, sa présence dans la machine de TALON sera un plus pour la victoire.

Dr Badirou AGUEMON plusieurs fois député et très actif sur le terrain. Il a été un des leaders leaders du l’ex Prd et l’arrivée de la création de l’ex parti Union Progressiste dont il est membre fondateur et membre de la direction exécutive de l’actuel de l’Union Progressiste le Renouveau.

A quelques mois des joutes électorales de 2026, rien n’est pas encore clair quant au choix de la mouvance à Patrice TALON. Cependant pour une victoire de la famille politique du prince de la Rupture, chaque région du pays regorge de leaders politiques incontournables qu’ils soient de l’Union Progressiste le Renouveau ou du Bloc Républicain.... Dans l’Ouémé par exemple, règnent encore en maître le président Adrien HOUNGBÉDJI, le président Louis Gbèhounou VLAVONOU, le député Augustin AHOUANVOÉBLA, l’he Sofiath SCHANOU épouse AROUNA, le député Mathias KOUWANOU alias ‘‘AKOMA’’.

En effet pour le Président Adrien HOUNGBÉDJI, il fut le leader charismatique du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) disparu au profit de l’Union Progressiste le Renouveau. Pendant environ 30 ans, il a toujours eu son mot à dire dans l’Ouémé.

Pour ce qui est du Président Louis Gbèhounou VLAVONOU, il est actuellement président de l’Assemblée nationale pour consécutivement un deuxième mandat. Il est également présent politiquement dans la région depuis plusieurs années. Membre fondateur du parti politique l’Union Progressiste (UP), Louis Gbèhounou VLAVONOU se trouve dans le cercle restreint qui gère actuellement l’Union Progressiste le Renouveau, le plus grand parti politique du Bénin. Pour 2026, il a également son poids politique à mettre dans la balance.

Originaire d’Avrankou, le député Augustin AHOUANVOÉBLA ne sera pas des moindres dans la machine de la mouvance en 2026. Député de façon continue depuis 2007, l’he Augustin AHOUANVOÉBLA saura mettre son capital politique à contribution en tant que leader de l’Union Progressiste le Renouveau.

L’he Sofiath SCHANOU épouse AROUNA, la seule femme du lot est une amazone des temps modernes. Présente au Parlement depuis 2007, elle a su, grâce à son intelligence et son leadership, s’imposer au fil des régimes qui se sont succédés. Leader incontestable du Bloc Républicain, elle a aussi son mot à dire dans la machine de la mouvance en 2026 dans l’Ouémé.

Il y a le député Mathias KOUWANOU alias ‘‘AKOMA’’ du Bloc Républicain (BR) qui ferme la liste. Présent au Parlement depuis 2019, il a su braver toutes les forces politiques de la 20eme circonscription électorale pour retrouver la place qu’il occupe actuellement. Avec ses percées politiques, il a indiscutablement son mot à dire en 2026 dans la machine de TALON dans l’Ouémé.

QUESTION D’ACTUALITE AU GOUVERNEMENT

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Bonne nouvelle pour la famille Union Progressiste le Renouveau de Cotonou. L’ancien député de la Renaissance du Bénin (RN). Ali CAMAROU, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a signé son retour dans le gotha politique depuis la fin de sa mission au sein de la dernière... mandature de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) en tant que conseiller.

Dorénavant il renoue avec sa base politique à Cotonou et multiple ses actions sur le terrain au profit de l’Union Progressiste le Renouveau du professeur Joseph DJOGBÉNOU.

Cela ne pouvait en être autrement quand on sait qu’une part en politique, seules les additions et les multiplications ont une plus value et d’autre part, Ali CAMAROU n’est pas un inconnu au bataillon. Cotonou qui regroupe les 15eme et 16eme circonscriptions électorales, ne lui ai pas inconnue politiquement parlant. Pour avoir été un ténor de la Renaissance du Bénin (RB) qui pendant longtemps avait une mainmise sur Cotonou, Ali CAMAROU est un atout de plus pour l’Union Progressiste le Renouveau qui fait de la quête du pouvoir en 2026, son prochain défi.

Avec son retour en politique, Ali CAMAROU réveille avec lui plusieurs militants qui n’attendaient que le mot d’ordre de leur capitaine. D’ailleurs plusieurs actions sont prévues dans les jours à venir pour marquer la présence, apprend-on de sources proches des soutienS du leader.

(Conjuguer leur synergie afin de renforcer les garanties juridictionnelles)

Le Président de la Cour constitutionnelle du Bénin, le Professeur Cossi Dorothé SOSSA est à Dakar depuis ce mercredi 21 Août 2024 à l’invitation de son... homologue sénégalais, M. Mamadou Badio CAMARA. Les deux responsables de Hautes juridictions en matière constitutionnelle ont échangé sur plusieurs points qui ont permis de définir un cadre de coopération bilatérale renforcée entre les deux juridictions.

Cette visite d’amitié et de travail du Professeur Dorothé SOSSA, a été l’occasion d’échanges fructueux sur les compétences respectives des deux juridictions, leurs apports jurisprudentiels et leur engagement commun pour la protection des droits et libertés fondamentaux. “Nous avons échangé sur les bonnes relations qui lient nos deux institutions et sur nos prochaines activités communes” a notamment déclaré le Président de la Cour constitutionnelle du Bénin. Le tête-à-tête qui s’est également déroulé en présence du Consul du Bénin près le Sénégal, M. Moussa CASSE, a également permis aux deux Institutions de tisser des liens plus étroits, de réfléchir en commun sur les principes et les méthodes qui fondent la jurisprudence et la pratique constitutionnelle dans leur pays respectif.

Messieurs Dorothé SOSSA et Mamadou Badio CAMARA ont su au cours de leur entretien conjuguer leur synergie afin de renforcer les garanties juridictionnelles et d’assurer un meilleur respect des droits fondamentaux au Sénégal et au Bénin. Des contacts réguliers entre les deux Cours constitutionnelles seront établis pour des échanges d’expériences en matière de pratique et de jurisprudence constitutionnelles dans le cadre de leur coopération. Le Président du Conseil constitutionnel sénégalais a offert à son homologue béninois, pour l’occasion une série de cadeaux, gages de l’amitié et de la confiance entre les deux pays. Ce déplacement à Dakar après celui de Paris en juin dernier du Professeur Dorothé SOSSA constitue une partie importante du rayonnement international de la Cour constitutionnelle du Bénin.

Le 16 août 2024, le navire Aura M, battant pavillon libérien, a pris le départ des eaux béninoises en direction de la Chine, après avoir chargé un million de barils de pétrole brut nigérien au terminal de Sèmè-Podji. Ce chargement intervient après une pause de près de deux mois due à une crise diplomatique entre le Niger et le... Bénin, marquée par des tensions sur la gestion des exportations pétrolières.

L’arrivée du navire Aura M à Sèmè-Podji, port clé pour l’exportation du pétrole nigérien, est un signal fort de la reprise des activités commerciales entre les deux pays. Au cours de cette période de tension, les opérations de chargement avaient été suspendues, ce qui avait suscité des inquiétudes quant à l’avenir du projet de pipeline reliant le Niger au Bénin. Toutefois, la relance de l’exportation de brut nigérien semble indiquer un retour à la normale, tant sur le plan économique que diplomatique.

Selon les informations rapportées par Bip Radio, la quantité de pétrole chargée par le navire Aura M est similaire à celle du premier chargement, qui avait eu lieu le 19 mai dernier, lorsque les autorités béninoises avaient donné leur feu vert à l’exportation. Ce nouvel envoi de pétrole brut marque une étape significative dans le rétablissement des relations entre Cotonou et Niamey, deux pays qui ont longtemps collaboré sur des projets énergétiques. Bien qu’aucune déclaration officielle n’ait été émise par les gouvernements concernant cette reprise des exportations, des sources proches des négociations affirment que les deux parties souhaitent tourner la page d’une crise qui a trop duré.

Cette volonté de rétablir des relations constructives pourrait ouvrir la voie à de nouveaux partenariats économiques et renforcer la coopération régionale en matière de ressources naturelles.

Le dossier Frère Hounvi appelle au parlement le gouvernement pour des explications. C’est à travers une question d’actualité adressé au gouvernement par le parti d’opposition Les Démocrates et portée par le vice-président... du part, le député Eric Houndété. « Dans une opération commando, le compatriote Steeve Amoussou, Frère Hounvi de son nom de chroniqueur, a été enlevé en terre togolaise, dans la nuit du lundi 12 Août 2024, dans un faubourg de Lomé. Des différents recoupements, ce kidnapping aurait été conjointement mené par les services de renseignements et la police républicaine du Bénin, sans aucune collaboration avec les autorités togolaises, en violation flagrante de toutes procédures judiciaires et des exigences réglementaires », lit – on dans l’introduction de la question d’actualité.

Selon le député Eric Houndété et ses collègues, agissant ainsi, le pouvoir de la Rupture s’est une fois encore illustré dans un scénario à la western, à travers un acte à fort relent d’incident diplomatique, entre le Bénin et notre voisin de l’Ouest. « Cet acte du gouvernement, au regard des instruments normatifs internationalement reconnus en la matière, suscite des inquiétudes et de graves interrogations », affirment-ils. C’est pourquoi conformément à l’article 110 du Règlement Intérieur de l’Assemblée nationale, le gouvernement est appelé à fournir des explications à la Représentation nationale, à travers cinq différentes question.

1- Les autorités de la République sœur du Togo ont-elles été informées et/ou associées à ce Kidnapping du compatriote Steeve Amoussou, sinon pourquoi ?

2- Alors que le Benin gère difficilement les conséquences des relations devenues exécrables avec nos voisins du Niger et du Burkina, cet acte constitutif d’incident diplomatique majeur ne mettrait-il pas en péril les relations entre le Bénin et le Togo ?

3- Quels sont les fondements juridiques de cet acte perpétré par le pouvoir de la rupture en allant enlever nuitamment en terre étrangère un compatriote ?

4- Si tant est que la justice du pays a des motifs d’accusation valables contre le compatriote Steeve Amoussou, pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas pris l’option d’une procédure régulière suivant les instruments juridiques internationaux ?

5- Quelle image du Bénin le gouvernement projette-t-il à la face du monde en allant délibérément violer la franchise et la sécurité intérieure d’un état souverain ?

Au détour d’une cérémonie fort simple, le maire de Nikki Roland Gounou Lafia Joseph a scellé une amitié fructueuse avec son... homologue de Beaurepaire Yannick Paque. C’était le lundi 19 août 2024 à la salle de mariage de la mairie de Beaurepaire en France. Au terme de cette rencontre d’échanges, les deux maires ont procédé à la signature de la convention qui consacre le début du partenariat entre les deux villes.

Le maire de la commune de Nikki Roland Gounou Lafia Joseph travaille d’arrache-pied pour l’épanouissement de sa population. En scellant ce partenariat avec son homologue de Beaurepaire, la première autorité de la cité impériale espère une collaboration décentralisée franche et transparente. Le partenariat a en effet été possible grâce au Consul du Bénin à Lyon Pierre Gazagne. Ceci a été renforcé par Nathanaëlle Blaise et Roger Ahossi, qui en réalité sont les figures de l’ombre de ce jour heureux pour les deux communes. Après leur mise en contact en janvier 2023, les deux maires ont maintenu les échanges. Ils ont réussi à franchir les différentes étapes de présentation du projet de partenariat au conseil de supervision. Après cela, s’en est suivie celle du conseil communal pour l’approbation des délibérations des conseils par l’autorité de tutelle, l’élaboration et la validation du projet de convention par les deux parties. Ce n’est qu’après ce long processus que ce partenariat est devenu une réalité.

S’exprimant, l’autorité communale de Nikki Roland Gounou Lafia Joseph a fait savoir que pour les peuples Baatombu, «l’amitié est comme le mariage des âmes». Il a de même souligné que toutes les valeurs de ce monde ne peuvent suppléer à un bon ami. Ce qui voudrait dire que «l’amitié fait de nous des frères». Satisfait et fier de ce partenariat, le maire a procédé à la remise de cadeaux à quelques personnalités à Beaurepaire. Il a eu par ailleurs l’honneur de découvrir la ville de Beaurepaire grâce à un tour offert par son homologue et ami Yannick Paque.

A noter que la présence de plusieurs personnalités a rehaussé l’image de cette cérémonie. Il s’agit entre autres du Consul du Bénin à Lyon, la présidente de la communauté de communes entre Bièvre et Rhône, un député de l’Isère. Étaient également présents, des sénateurs de l’Isère, un ancien ministre délégué chargé de la coopération, le président de l’association des Maires de l’Isère et le Major de la Gendarmerie Nationale de Beaurepaire.

Comme annoncé dans nos précédentes publications, un second chargement du pétrole nigérien a eu lieu au Bénin. Selon Bip Radio, le bateau l’Aura M, qui battait pavillon libérien aurait été escorté par la marine nationale. Ce navire a fini sa mission dans les eaux béninoises et a pris la direction de la Chine ce mardi... 20 août. Il aura chargé au total 1 million de barils du pétrole nigérien. Ce nouveau chargement intervient après celui qui a eu lieu le dimanche 19 mai dernier. Au total, 1 million de barils de pétrole avait été également chargé. Il est important de faire remarquer que la reprise de ces différents chargements est entre autre, le fruit de la médiation entamée par les anciens présidents béninois Thomas Boni Yayi et Nicéphore Dieudonnée Soglo. Entre le Bénin et le Niger, les relations s’adoucissent au fil des jours. Récemment, l’ambassadeur Gildas Djobloski Agonkan a procédé à la remise des copies figurées de ses lettres de créances au ministre nigérien des Affaires étrangères et de la Coopération, Bakary Yaou Sangaré. Cette cérémonie marque en réalité un tournant décisif dans les relations qui lient les deux pays.

La prochaine étape pour que l’ambassadeur béninois au Niger entre pleinement dans ses fonctions est qu’il soit reçu par le président pour la présentation officielle de sa lettre de créance. Gildas Agonkan rejoint ainsi son poste plus d’un an après sa nomination. Il avait nommé le 14 juin 2023. Quelques semaines après sa nomination, le président d’alors a été renversé et remplacé par le militaire Tiani.

La récente interpellation de l’activiste béninois Frère Hounvi a mis en lumière une dérive dangereuse pour notre démocratie : l’ingérence du pouvoir législatif dans les affaires judiciaires. Lors de la présentation de cet activiste au Procureur spécial de la CRIET, des députés de l’opposition, membres du parti Les Démocrates et aborés de leurs... écharpes ont fait une apparition remarquée à la Cour. Ce geste, sous des apparences de soutien ou de solidarité, révèle en réalité une tentative d’intimidation vis-à-vis des magistrats chargés de rendre la justice. Dans toute démocratie saine, la séparation des pouvoirs est un principe fondamental. Le pouvoir législatif, représenté par nos députés, a pour mission de légiférer, de contrôler l’action du gouvernement, et de représenter les citoyens. Quant au pouvoir judiciaire, son rôle est de dire le droit en toute indépendance. Lorsque ces deux pouvoirs empiètent sur les prérogatives l’un de l’autre, c’est l’équilibre même de notre système démocratique qui est menacé.

L’apparition des députés des Démocrates aux couleurs de la République à une Cour, où se jouait le sort d’un citoyen, est un acte lourd de sens. Ce n’est pas seulement un message adressé aux juges présents, mais aussi un signal alarmant envoyé à l’ensemble de la société béninoise. Un signal qui laisse entrevoir que, pour certains acteurs politiques, la justice pourrait devenir un instrument entre leurs mains. Cela crée un précédent dangereux où la justice n’est plus rendue en toute impartialité, mais influencée par des intérêts politiques. Il est crucial de rappeler que l’indépendance de la justice est non seulement une garantie pour chaque citoyen, mais aussi un rempart contre la tyrannie et l’arbitraire. Un pouvoir judiciaire soumis aux pressions d’un autre pouvoir perd sa capacité à protéger les droits et les libertés des citoyens. En tant que Béninois attachés à nos valeurs démocratiques, nous devons rester vigilants et dénoncer toutes les formes d’ingérence dans le fonctionnement de la justice. La démocratie ne peut prospérer que dans un cadre où chaque pouvoir respecte les limites de ses compétences, et où la justice demeure le dernier rempart contre les dérives du pouvoir.

Après plusieurs semaines d’interruption, le chargement de pétrole brut nigérien sur la plateforme de l’oléoduc récemment construit au Bénin est sur le point de reprendre. Un navire, l’Aura M, battant pavillon libérien, est actuellement... ancré dans la rade de Cotonou, en préparation de cette opération tant attendue.

Cette reprise fait suite à une suspension des activités en juin dernier, qui avait été déclenchée par l’arrestation de cinq (05) ressortissants nigériens sur la plateforme du pipeline à Sèmè-Podji. Selon des informations rapportées par RFI, un million de barils de pétrole brut nigérien sont prévus pour ce nouveau chargement, un volume équivalent à celui du premier chargement effectué en mai dernier. Cette étape marque une avancée significative dans le fonctionnement du pipeline Niger-Bénin, un projet stratégique pour les deux pays.

L’arrivée du navire et l’autorisation de chargement témoignent d’une certaine décrispation des relations entre le Niger et le Bénin. En effet, les tensions qui avaient suivi l’incident de juin semblent s’être apaisées, notamment grâce aux efforts diplomatiques déployés entre les deux Nations. Le mois dernier, une rencontre entre les émissaires nigériens et le Président béninois, Patrice TALON, a permis d’aborder des questions liées au pipeline ainsi qu’aux relations bilatérales.

De plus, la récente reconnaissance officielle de l’Ambassadeur béninois à Niamey constitue un autre signe encourageant de cette normalisation. Cependant, si la reprise du chargement de pétrole est une avancée majeure, la réouverture complète de la frontière entre les deux pays reste une attente importante pour les populations vivant dans les régions frontalières.

La Force Cauris pour un Bénin Emergent (Fcbe), était l’un des grands absents à la déclaration de soutien de l’opposition au chroniqueur « Hounvi », ce dimanche 18... Août 2024, à Cotonou. Ce qui pourrait susciter des interrogations vu que l’opposition dans son ensemble souhaite parler d’une même voix dans la perspective des élections de 2026.

La Force Cauris pour un Bénin Emergent (Fcbe) n’est pas sur la même longueur d’onde que ses pairs de l’opposition en ce qui concerne l’affaire Hounvi ? Si on s’en tient à la considération selon laquelle les opposants au régime actuel souhaitent parler d’une seule voix dans la perspective de 2026, pour une alternance, on peut sans sourciller tirer cette conclusion.

Mais avec le recul, selon une source proche du parti de l’ancien ministre Paul Hounkpè, un représentant du parti pouvait être de la partie ce dimanche. Mais il s’est fait qu’il y a eu, selon la même source, un dysfonctionnement qui motive cette absence des Cauris au siège Des Démocrates. Il paraitrait qu’avant la déclaration, l’opposition dans son ensemble s’est concertée pour harmoniser les points de vue. Et alors, les dirigeants de la Fcbe ont reçu tardivement, la lettre des Démocrates qui les invitaient à la séance de concertation.

En effet, le jeudi dernier, une correspondance aurait été envoyée à la Fcbe qui devrait être de la réunion de concertation le lendemain c’est-à-dire le vendredi 16 Août 2024. Mais cette lettre est parvenue au parti de Hounkpè le vendredi à midi alors que la séance est censée se tenir aux environs de dix heures. Cette cacophonie explique la source, est à la base sans doute de l’absence de la Fcbe à la déclaration de soutien au Frère Hounvi. Il faut rappeler que ce dimanche, au siège du part de l’opposition Les Démocrates à Cotonou, une déclaration en soutien au chroniqueur Steve Amoussou alias Frère Hounvi a été faite. En présence des partis comme MPL, NFN, l’ancien fonctionnaire international Daniel Edah etc. La déclaration a été lue par le Secrétaire National à la Communication Des Démocrates, l’ancien député Guy Mitokpè.

Le Bénin et le Niger, tels des mariés en instance de divorce, ont compris qu'ils doivent puiser dans les relations bilatérales séculaires qui les lient pour sauver leur mariage....

En tout cas, tout donne à le croire avec la reprise de l'exportation du pétrole nigérien par Cotonou ce vendredi 16 août 2024 avec le jet d'ancre dans la baie par un navire battant pavillon libérien, l’Aura M. Ce qui marque ainsi la relance des opérations. En effet, après des semaines de suspense et d’incertitude, le chargement du pétrole brut nigérien depuis la plateforme de l’oléoduc au Bénin a finalement repris. Ce vendredi 16 août, un navire battant pavillon libérien, l’Aura M, a jeté l’ancre dans la baie de Cotonou, marquant ainsi la relance des opérations. Cette reprise est une étape cruciale, non seulement pour le Niger et le Bénin, mais aussi pour l’ensemble du réseau énergétique ouest-africain.
Cette reprise des activités survient après une interruption brusque en juin dernier, lorsque cinq ressortissants nigériens ont été interpellés pour « entrée frauduleuse » sur la station terminale à Sèmè-Podji. Cet incident avait provoqué une vive tension entre les deux nations, mettant en péril les relations bilatérales. Cependant, l’arrivée du navire et la reprise des opérations montrent que les tensions se sont apaisées, grâce à des efforts diplomatiques récents, dont la rencontre entre les émissaires nigériens et le président béninois Patrice Talon.

La quantité de pétrole à charger est d’un million de barils, une quantité similaire au premier chargement effectué en mai dernier. Cette opération est placée sous haute surveillance, avec l’implication directe de la marine nationale béninoise, qui a escorté l’Aura M jusqu’à la plateforme. Cette mesure de sécurité souligne l’importance stratégique du Bénin dans l’exportation du pétrole nigérien et la nécessité de garantir des opérations sans accroc dans ce contexte géopolitique sensible.

L’arrivée de l’Aura M et la reprise des chargements sont des signes positifs dans le processus de normalisation des relations entre le Bénin et le Niger. La récente reconnaissance officielle de l’ambassadeur béninois à Niamey en est un autre. Cependant, un point de tension reste en suspens : la réouverture de la frontière côté Niger, un acte très attendu par les populations des deux pays. La reprise des opérations pétrolières pourrait-elle être le prélude à une réouverture des frontières ? Le temps nous le dira, mais une chose est sûre : les relations entre le Bénin et le Niger semblent être sur la voie de la normalisation.

Au fur et à mesure que la grande année électorale de 2026 s’approche à grands pas, on se rend compte que le chantre du Nouveau départ, Patrice TALON après deux mandats, affiche toujours... une «apparente» sérénité. Entre une mouvance en panne d’inspiration et une opposition amorphe, le locataire de la Marina demeure toujours le maître du jeu

À moins de deux ans de la fin de son second et dernier quinquennat (constitutionnellement parlant), Patrice TALON tient toujours les ficelles. Rien ne lui échappe dans le processus électoral : de la Cena, à la Cour constitutionnelle en passant par la HAAC sans oublier l’Assemblée nationale, cet animal politique a encore son mot à dire dans le jeu. Difficile donc de prédire ou de dresser le portrait robot de celui qui va lui succéder à la tête du pays qu’il provienne de son sérail ( pourtant c’est important pour la survie des réformes engagées depuis 2016 pour hisser le Bénin au firmament) ou du camp d’en face.
D’un côté il y a une mouvance qui hésite à prendre ses responsabilités car en son sein, personne ne veut oser et courir le risque de bâtir son empire politique sans la caution du chef. En tout cas, ce n’est ni Olivier BOKO, ni Joseph DJOGBÉNOU, ou encore moins Romuald WADAGNI dont les noms sont cités dans l’opinion publique pour continuer l’œuvre de Patrice TALON qui diront le contraire. De l’autre côté, il y a une opposition qui ne sait à quel saint se vouer et qui multiplie ses erreurs face à la ruse du pouvoir en place. Du coup, ils sont nombreux ces Béninois à penser que le virage de 2026 ne sera pas facile en raison des cartes que présente le président de la République.

Pourtant la nature n’est pas trop favorable au régime en place. Puisque par exemple la crise économique, la cherté de la vie, le hautement social qui est difficilement perceptible ou encore quelques aléas politiques ne sont pas des éléments à lubrifier le chemin au dauphin de Patrice TALON. Et au lieu que l’opposition en profite, elle se laisse endormir dans des calculs inutiles. En attendant qu’un éventuel troisième laron ne fasse son entrée dans le jeu, Patrice TALON reste imperturbable, seul à conduire le navire Bénin jusqu’en 2026...et?

Dans un contexte régional tendu, où les rumeurs et la désinformation circulent à une vitesse alarmante, le Général Abdourahamane TIANI, Président de la transition nigérienne... a récemment mis à jour la vérité concernant la prétendue existence d’une base militaire étrangère au Bénin. Lors d’une émission télévisée diffusée le 3 août dernier, le Général TIANI a formellement démenti les allégations selon lesquelles le territoire béninois abriterait une installation militaire étrangère, une affirmation qui, jusqu’alors, avait été soutenue par certains membres de son gouvernement, notamment le Premier Ministre Ali Mahamane Lamine ZEINE et le Président burkinabè Ibrahim TRAORÉ. Cette déclaration vient mettre un terme à une polémique qui a enflé ces dernières semaines, alimentée par des spéculations et des interprétations erronées des accords de sécurité régionaux. Le Général TIANI, conscient des conséquences que de telles allégations peuvent avoir sur les relations entre États et sur la stabilité régionale, a choisi de prendre le contre-pied de ses homologues pour affirmer que « le Bénin n’est pas une base militaire étrangère », soutenant ainsi la position des autorités béninoises qui n’ont cessé d’affirmer la non-existence de telles installations sur leur sol. La réaction du Général Abdourahamane TIANI a été accueillie avec surprise et soulagement par les observateurs de la scène politique. En effet, cette prise de position marque un tournant significatif dans la communication des dirigeants de la transition nigérienne, qui semblent désormais plus enclins à éviter les discours belliqueux et à privilégier la diplomatie.

En apportant ce démenti formel, le Chef de la junte nigérienne ne se contente pas de défendre le Bénin ; il cherche également à rétablir la crédibilité de son propre gouvernement face à une opinion publique de plus en plus exigeante. Loin d’être anodin, ce changement de ton de la part du Général TIANI pourrait également être interprété comme une tentative de renforcer les liens avec le Bénin, un pays qui joue un rôle important dans la lutte contre le terrorisme et l’instabilité au Sahel. En affirmant que le Bénin est un partenaire de confiance, TIANI semble vouloir construire une alliance plus solide face aux défis sécuritaires qui menacent la région.

Sur toute l’étendue du territoire national, les émissaires du Gouvernement ont passé plusieurs jours à sacrifier à la tradition de reddition de compte aux populations. Une belle initiative, à en croire les résultats et le retour des missionnaires,... qui a permis de désintoxiquer les populations mais aussi et surtout de leur faire part des réalisations secteur par secteur

Cette étape terminée, il faut agir et bien agir maintenant en tenant compte des préoccupations des populations qui, il faut le reconnaître, sont d’ordre social. Et le second quinquennat du président Patrice TALON étant basé sur le «Hautement social», point de doute sur le sort réservé à ces préoccupations. Sur ce nouveau chantier, le Gouvernement est attendu par sa bonne foi. Ce qui passe par le répertoire des préoccupations secteur par secteur et un traitement bien indiqué. 2026 en dépend. Car c’est sur ce tableau que le Gouvernement sera jugé au moment venu et non sur son Programme d’actions